Premiers Travaux
Seconds travaux
Troisièmes travaux
Blog d' Arts Plastiques – Master MEEF 1er et second degré INSPE de Bretagne
Evaluation continue des Masters d'enseignement et mutualisation de pistes d'apprentissages, d'ateliers artistiques, de ressources en Arts plastiques.
C’est dans cette catégorie que vous déposerez (par trinôme de stage) le résultat de vos investigations autour des programmes – notions et questions d’enseignements. Consultez avant le:
cahier des charges CM programmes
cahier des charges CM programmes (en pdf)
Aides:
Doct 4 questions d’apprentissage cycle 3
Doct 5 questions d’apprentissage cycle 4
Doct 8 notions et réf arts (présentation)
Lexique_AP_domaines_de_pratiques
Lexique_Elements_du_langage_plastique-
Vous en ferez un retour oral réflexif, plus tard, en vous appuyant sur votre article déposé sur le blog.
Quelques cartes mentales de conception de dispositifs d’enseignement par les étudiant.e.s en Master 1 – 2020-21:
Sarah Aussant
Antoine Grissault
Sarah Gaspin
Gestes et outils, la représentation du paysage en gravure.
Raphaël – Thomas – Eugénie – Alice
Pendant l’atelier de photographie, nous avons dégagé une réalisation plastique construite à partir de nos erreurs et accidents dans nos productions.
L’erreur est-elle négative ? Comment peut-on construire à partir de ses erreurs ?
Jérémie Stortz, Lola Thomin, Léa Bénétou.
Lors des heures en atelier, nous avons découvert des procédés de création et travaillé notre vision du paysage via des techniques de gravure et cyanotype entre autre.
Dans un second temps nous avons imaginé une séance de travail pour des élèves de cycle 3 sur la question de la représentation du paysage.
« Gammes d’empreintes »
Pratique personnelle
Dans le cadre de l’atelier estampe, ma réflexion se portait sur la variation de matrices, de supports, d’outils, afin de constater les modifications que cela pourrait apporter à la représentation, voir les écarts, mais aussi de faire une sélection d’éléments qui pourrait être reproduit.
Pistes d’apprentissages
Suite à ces expérimentations, j’ai souhaitée aborder dans mes pistes d’apprentissages les notions:
Avec une classe d’élève nous pourrons travailler sur la notion de ressemblance et d’écart dans le représentations pour finir sur les questions de compositions, d’organisation
Si joint, le carnet de bord complet comprenant l’intégralité de la présentation plastique personnelle, des pistes d’apprentissages, ainsi qu’un corpus artistique qui pourrait être présenté aux élèves en classe ou sur un logiciel de partage commun à la classe.
Soizic Pilon, M1 MEEF arts plastiques
Piste d’apprentissage : la narration visuelle
Au cours de ces séances d’expérimentations, nous avons enrichi et développé nos capacités à produire une production plastique dictée par une approche réflexive s’appuyant sur les programmes du collège et lycée et sur les notions plastiques telles que l’espace, le temps, la forme et le support. Ces séances se sont articulées autour d’un sujet plastique : le paysage. Nous avons tenté de problématiser nos expérimentations autour du questionnement de la narration visuelle présente dans le cycle 3 et 4 du programme scolaire.
A la suite de cette problématisation nous avons réalisé en trinôme un projet plastique dans le contexte d’un scénario pédagogique enseignable à une classe de 5ème. C’est alors que nous avons produit dans le cadre d’une leçon d’arts plastiques un objet (flip book) convoquant la notion de récit à travers la création d’images séquentielles réalisé à partir de la technique du photogramme.
Comment créer un paysage animé à travers le procédé photographique du cyanotype ou du photogramme ?
Sujet du questionnement autour du cycle 3 et des notions de matière, d’outil, de couleur, d’espace et de forme.
La question qu’on s’est posé pour concevoir cette séance est la suivante : « En quoi le geste, l’outil et les qualités physiques des matériaux influent-ils sur la représentation ? »
La demande posé aux élèves est : « Avec un outil unique et une seule couleur tirée au hasard, vous devrez imaginer un paysage »
L’objectif est pour l’élève de s’adapter aux imprévus. Il est capable d’accommoder son regard plastique aux différentes contraintes. Il recherche une expression personnelle.
Mathilde Bideau, Natacha François et Alison Barbey
Marine GOUET, Lucie CŒURET, Léa MORVAN
En collaboration avec Maël le Golvan, nous avons eu la chance d’expérimenter par groupes le sténopé et le cyanotype, deux principes de représentation picturale. Les expérimentations ont été accrochées au milieu des œuvres de Maël dans la galerie Ec’Art.
Suite à ces séances d’expérimentations nous avons conçu une séquence basée sur le système organisationnel et didactique découvert au cours de la pratique en atelier.
« Après avoir découpé le Rhodoïd lui même en escalier pour suivre l’escalier présent sur l’image, j’ai enduit une feuille jaune du produit pour un effet sépia, puis j’ai placé mon Rhodoïd de façon à laisser un écart entre les deux Rhodoïd pour un effet d’accentuation de l’escalier déjà présent dans le paysage. »
– Lucie
« Utilisant ce même Rhodoïd, j’ai pratiqué le même procédé que le précédent mais sur un support blanc puis j’y ai ensuite ajouté des morceaux de papiers découpés afin d’y intégrer des formes voisines à l’escalier présent sur le paysage, c’est donc une mise en abyme. Le fait de découper intègre la notion d’outil et l’escalier intègre la notion de forme. »
– Lucie
La proposition de travailler avec Maël Le Golvan sur l’incitation « Entrez dans le paysage » a été pour nous l’occasion d’une interprétation de la pratique de l’artiste, en particulier le questionnement du photogramme, que nous avons poursuivi avec l’assemblage d’épreuves argentiques formant un panorama. Nous avons trouvé intéressant de proposer une séance aux élèves autour du dispositif du panorama, car c’est notion intrinsèque du paysage. Comment créer un panorama sans caméra !
Entrée du programme: Cycle 3, la narration visuelle: L’organisation des images fixes ; La prise en compte du spectateur: modalité de présentation afin de permettre la réception.
Questionnement: Les frises ont comme particularité de s’organiser dans leur largeur. Cela implique de la part du spectateur de déplacer son point de vue pour pouvoir contempler l’intégralité de l’œuvre. Le regard est donc mobile, il permet à la manière d’un panorama de développer une narration visuelle des images fixes.
Exemples de verbalisation avec les élèves: » Savez-vous comment s’appelle ce type de disposition ? » ; » Si la frise est longue, est-ce que l’on peut la regarder en entière ? «