Conception d’une situation d’enseignement : Morgane Boussion, Géraldine Rabadeux, Yu He

Nous avons décidé d’élaborer une séquence d’enseignement en lien avec les notions d’outils, de gestes et d’espaces. Les questions d’apprentissages visées sont : Comment représenter un paysage en ayant une prise de distance avec le support ? Comment créer un paysage avec des outils inventés et non adaptés ? Comment mettre en place une gestuelle correspondant à l’outil utilisé et à la demande du sujet ?

Conception de la situation d’enseignement :
Format pdf : Situation d’enseignement sur le geste et l’outil
Format open office : Situation d’enseignement sur le geste et l’outil

Diaporama : Diapo – situation d’enseignement ppt

Une réflexion sur « Conception d’une situation d’enseignement : Morgane Boussion, Géraldine Rabadeux, Yu He »

  1. Situation assez bien ficelée mais à reprendre. La contrainte de l’outil imposé aux élèves (pinceau au bout d’un bâton) questionne effectivement, comme vous l’indiquez, l’incidence de l’outil sur le geste. Gestes libérés, amples, imprécis, maladroits, dynamiques que l’on imagine aisément produit par les élèves.
    Pour autant, vos attentes « un paysage par plans successifs » (donc appel à la perspective maîtrisée (même atmosphérique) + le format A3, paraîssent incompatibles avec une telle exploration expressive, libérée du geste…C’est même tout le contraire. En ouvrant la proposition « libérez le geste….pour évoquer l’idée de vitesse… » celle-ci renforcerait
    l ‘exploration de gestes peints, dessinés, gravés…
    Par ailleurs, en vous citant: « L’enseignant montre des artistes en référence pour ce sujet, des artistes qui utilisent des moyens semblables dans leurs productions. Il faut évoquer des indices pour les élèves, et des modèles de gestuelles où l’artiste à une prise de distance avec son support. C’est aussi un temps de réflexion pour les élèves », vous proposez de montrer ces références 10 mn seulement après le début du cours.
    Cela va, très certainement, modéliser leur pratique en les appauvrissant au lieu de les enrichir.
    Cordialement
    Pascal BERTRAND

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