MASTER PLC – Option vidéo – L’autonomie de l’oeuvre d’art – LE MOIGNE Alban

Séquence d’apprentissage pour une classe de Terminale spécialité.

Chris Marker, La Jetée, 1962.

Isicore Isou & Marcel Achard, Traité de bave et d’éternité, 1951.

https://www.fondation-langlois.org/html/f/page.php?NumPage=480

Juste pour le plaisir, une installation interactive bien dans l’actualité :
http://users.monash.edu/~aland/pandemic.html

En bonus mon dossier option vidéo sur Figuration & Construction pour une classe de première enseignement optionnel.

3 réflexions sur « MASTER PLC – Option vidéo – L’autonomie de l’oeuvre d’art – LE MOIGNE Alban »

  1. Bonjour Alban,
    j’ai laissé un premier commentaire sur ton retour réflexif sur Michel Butor.
    Tes investigations à partir d’Eduscol sont d’une grande qualité analytique et créative. Les solides connaissances dont tu fais preuve éclairent ta réflexion. Les deux dispositifs sont opérationnels. Mon « Haiku vidéo » ou « quand le regardeur trahit sa présence »sont particulièrement porteurs de questions que les élèves rencontreront lors de leur pratique. Lors d’un prochain cours, je te propose de tester l’une des deux propositions avec nos téléphones portables. Nous en avons d’autres, du même acabit à vous proposer…
    Côté lycée, ta problématique retenue : « Comment se produit le passage à la non-figuration dans le
    champ de la pratique artistique des images animées (Cinéma, vidéo, image de synthèse)? » et ta
    Situation problème envisagée : « Comment représenter sans figurer?  » pourrait se condenser par la problématique suivante: En quoi les images animées (Cinéma, vidéo, image de synthèse) permettent-elles de représenter sans figurer ?
    Cri S Mare Cœur « en jette » !
    Le procédé de Found footage cité se rapproche du collage mais aussi de l’emprunt, citation, détournement voire de la parodie. Techniques largement à l’oeuvre dans les pratiques modernes ou plus contemporaines aujourd’hui. Tes modalités d’évaluation, les questions posées aux élèves sont en adéquation avec les objectifs posés.
    Un glissement vers le champ plus large des arts plastiques (qui certes comprend le cinéma et la vidéo) dans la pratique des élèves permettrait d’ouvrir à d’autres modes d’expression que l’image animée en évitant ainsi le côté chronophage de montages vidéos (sauf si le tourné-monté est imposé) et mieux correspondre aux attendus stricts du capes.
    Dommage que tu ne puisses analyser les écarts entre le prescrit et le réel, du fait de l’impossibilité de piloter ces dispositifs. L’année prochaine, sans aucun doute !
    Bien à toi
    Pascal BERTRAND

  2. Ce sera avec grand plaisir.

    Le glissement est censé se faire à la séance 3, mais je viens de me rendre compte que ce n’était pas claire dans le dossier, à cause du vilain copié collé sur le rangement de fin de séance.
    Dans la troisième séance, il n’y a pas de contrainte liée au champ disciplinaire (bien qu’une pensée réflexive sur l’emploi d’images et de sons est attendue et précisée aux élèves une fois l’incitation énoncée). La contrainte est dans l’incitation : « Au cœur de l’image » , (« abstraite, n’est-elle pas? »)
    Les élèves sont invités à présenter un projet ou une création qui peut prendre la forme d’une performance, d’une mise en scène, d’une maquette architecturale, etc.

    Pour le timing, il me semble qu’au lycée le coefficient horaire d’une séance d’arts plastiques pour une terminale en spécialité c’est au minimum 2h (pour un total de 4h par semaine)? est ce que je me trompes?
    Bien cordialement.
    Alban Le Moigne

  3. Bonjour Alban, 6 heures hebdomadaires en Terminale, dans l’enseignement de spécialité et 4 heures en enseignement optionnel.
    Bien à toi
    Pascal Bertrand

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